Assurance vie pour enfant un placement prévoyant et souple Anticiper l’avenir de son enfant, c’est aussi lui constituer progressivement un capital qu’il pourra mobiliser pour ses projets futurs. Parmi les outils disponibles, l’assurance vie se distingue par sa flexibilité, sa fiscalité attractive à long terme et les possibilités de transmission qu’elle offre. Loin d’être réservée aux adultes, elle peut tout à fait être souscrite au nom d’un mineur. On vous explique tout ce que vous devez savoir pour souscrire une assurance vie pour votre enfant. Découvrez notre taux de rendement 2024 3,60 % (1) Souscrire en ligne Faire une simulation Anticiper l’avenir de son enfant, c’est aussi lui constituer progressivement un capital qu’il pourra mobiliser pour ses projets futurs. Parmi les outils disponibles, l’assurance vie se distingue par sa flexibilité, sa fiscalité attractive à long terme et les possibilités de transmission qu’elle offre. Loin d’être réservée aux adultes, elle peut tout à fait être souscrite au nom d’un mineur. On vous explique tout ce que vous devez savoir pour souscrire une assurance vie pour votre enfant. Placement assurance vie Assurance vie rentable Taux assurance vie Unité de compte assurance vie Fonds euros assurance vie Assurance vie épargne Découvrez les avantages de notre produit Un rendement performant Sur les 8 dernières années, le taux de rendement du fonds en euros d'Actépargne2 a rapporté 15,9 % (net de frais de gestion et de prélèvements sociaux) contre 11,0 % pour le Livret A. Des conseillers à vos côtés Nos conseillers sont là pour vous accompagner. Ils peuvent vous rencontrer chez vous ou dans l'une de nos 58 agences. Vous pouvez également échanger par téléphone ou en visio. C'est vous qui choisissez ! Une fiscalité avantageuse Vous bénéficiez d'un cadre fiscal allégé sur les gains générés par votre contrat. De plus, en cas de transmission, vos bénéficiaires profitent d'une exonération partielle ou totale des droits de succession. Vous maximisez ainsi leur héritage. Découvrir notre offre Pourquoi ouvrir une assurance vie au nom de son enfant ? Épargner dès les premières années de vie de votre enfant peut vous permettre d’anticiper ses besoins futurs et de l’accompagner dans la constitution de son patrimoine. Épargner tôt pour ses projets de vie Un contrat ouvert dès la naissance ou dans l’enfance peut permettre de financer, à terme, des projets concrets comme les études supérieures, le permis de conduire, un premier logement ou plus globalement, un démarrage confortable dans la vie active. Cette épargne constitue un véritable levier de soutien sans devoir solliciter un crédit et pourra être mobilisée en fonction des projets de votre enfant lorsqu’il aura atteint 18 ans. Le capital constitué prend de la valeur au fil du temps, grâce aux versements réguliers ou ponctuels effectués par vous, ses parents, ou encore d’autres membres de la famille. Faire fructifier un capital pour sécuriser son patrimoine L’un des atouts majeurs de l’assurance vie réside dans son fonctionnement par capitalisation. Les intérêts générés chaque année sont réinvestis, créant un effet boule de neige sur la durée. Ainsi, plus le contrat est conservé longtemps, plus cet effet est significatif. Ouvert tôt, un contrat d’assurance vie pour votre enfant profite pleinement de cette logique : au bout de 10, 15 ou 20 ans, le capital peut avoir doublé, voire triplé, sans avoir été alimenté par des montants élevés. Cette croissance régulière, si elle est bien pilotée, permet d’envisager sereinement les projets futurs de votre tête blonde. Pourquoi choisir Actépargne2 pour l’assurance vie de votre enfant ? Le contrat d’assurance vie multisupport Actépargne2 de La France Mutualiste, mutuelle d’épargne individuelle de Malakoff Humanis, peut tout à fait convenir à un enfant mineur. Ce contrat associe un fonds en euros, à capital garanti, et des unités de compte(2) qui permettent de dynamiser l’épargne sur le long terme. Avec un taux de rendement de 3,60 %(3) en 2024 sur le fonds en euros sécurisé, le contrat Actépargne2 offre un bon compromis entre performance et sécurité. Les versements restent libres et modulables, et vous pouvez donc tout à fait adapter l’effort d’épargne à vos capacités pour accompagner efficacement votre enfant dans ses projets futurs ! Assurance vie enfant : ce qu’il faut savoir avant de souscrire Même si l’assurance vie est accessible dès le plus jeune âge, sa souscription au nom d’un mineur implique certaines règles spécifiques. Qui peut ouvrir un contrat pour un mineur ? En tant que parent, vous avez la possibilité d'ouvrir un contrat d’assurance vie au nom de votre enfant mineur. En l’absence de disposition particulière, vous, et le cas échéant, votre conjoint(e), exercez conjointement l’autorité parentale et devez donc donner votre accord mutuel. Les grands-parents, oncles, tantes ou proches peuvent également souscrire un contrat au nom de l’enfant, à condition d’obtenir votre autorisation en tant que représentant légaux. Une alternative consiste à alimenter un contrat déjà existant, via des versements libres ou programmés. Clause bénéficiaire et pacte adjoint : comment ça marche ? Dans un contrat d’assurance vie ouvert pour un enfant, celui-ci est à la fois assuré et bénéficiaire. En cas de décès du souscripteur (le parent), le capital reste dans le contrat et continue à lui profiter. Il est également possible de désigner un bénéficiaire de second rang en cas de décès prématuré du mineur, afin d’encadrer la transmission des sommes investies. Par ailleurs, lorsqu’une assurance vie est souscrite au nom d’un enfant, il est possible de formaliser la donation des sommes versées via un pacte adjoint. Il s’agit d’un document complémentaire à l’acte de donation, qui permet à l’adulte donateur (souvent un parent ou un grand-parent) de fixer des règles précises concernant l’usage du capital transmis. Le pacte adjoint peut, par exemple, prévoir que les fonds seront bloqués jusqu’à la majorité de l’enfant, ou qu’aucun retrait ne pourra être effectué sans l’accord du représentant légal. Ce cadre juridique offre une protection renforcée du capital transmis, en assurant que votre enfant ne pourra pas en disposer librement avant un âge convenu ou sans conditions particulières. Quels sont les avantages fiscaux d’une assurance vie au nom de votre enfant ? L’assurance vie bénéficie d’un régime fiscal particulièrement attractif, aussi bien en cas de rachat qu’en matière de transmission. Rachats : une fiscalité allégée après 8 ans L’un des grands avantages de l’assurance vie réside dans la fiscalité appliquée aux rachats, c’est-à-dire aux retraits partiels ou totaux du contrat. Après 8 ans de détention, les gains générés par le contrat profitent d’un abattement annuel sur les intérêts, ce qui réduit significativement l’imposition. Concrètement, chaque personne peut retirer jusqu’à 4 600 € d’intérêts par an sans être imposée (ou 9 200 € pour un couple soumis à imposition commune). Même si le contrat a été souscrit alors que l’enfant était mineur, ces règles s’appliquent dès lors qu’il devient majeur et qu’il souhaite utiliser tout ou partie de son épargne. Il est donc conseillé d’ouvrir une assurance vie le plus tôt possible pour que l’enfant puisse bénéficier de la fiscalité allégée dès sa majorité. Transmission du capital : un cadre fiscal favorable Lorsque les sommes sont versées sur un contrat avant les 70 ans du souscripteur, chaque bénéficiaire peut recevoir jusqu’à 152 500 € sans droits de succession, grâce à un abattement fiscal spécifique. Au-delà de ce seuil, les montants sont taxés selon un barème progressif, mais demeurent généralement plus avantageux que les droits de succession classiques. Dans le cadre d’un contrat ouvert au nom d’un enfant, ce mécanisme peut être mobilisé dans l’autre sens : ce sont les parents ou grands-parents qui effectuent des versements au profit de l’enfant, avec la volonté de transmettre un capital dans un cadre fiscal optimisé. Comment bien optimiser l’assurance vie de votre enfant ? 1. Adapter l’allocation d’actifs à l’horizon de placement Lorsque le contrat est ouvert tôt, le temps devient un véritable atout. En effet, plus votre enfant est jeune au moment de l’ouverture, plus la durée d’investissement est longue. Cela peut vous permettre d’envisager une allocation d’actifs plus dynamique au départ, en intégrant une part significative d’unités de compte (2). À mesure que votre enfant grandit et que l’échéance de certains projets se rapproche (études, permis de conduire, installation dans la vie active), il peut être judicieux de réorienter progressivement les fonds vers des supports moins risqués, comme le fonds en euros. Ce support sécurisé permet de préserver le capital tout en assurant une disponibilité des fonds à court terme. 2. Effectuer des versements réguliers pour construire progressivement un capital L’assurance vie offre une grande souplesse en matière d’épargne. Selon les contrats, un montant minimum de versement peut être requis, mais l’adhérent reste libre de modifier ou d’interrompre ses versements à tout moment. Enfin, opter pour des versements réguliers, même de faible montant, vous permet de bâtir un capital solide dans la durée. Nous sommes à votre écoute Être rappelé Envoyer un message À quel âge ouvrir une assurance vie pour un enfant ? Il n’existe pas d’âge minimum. Le contrat peut être ouvert dès la naissance. Plus l’ouverture est précoce, plus le capital a de temps pour se valoriser, et plus le contrat profite des avantages fiscaux liés à la durée de détention. Est-ce que l’enfant peut gérer son contrat en grandissant ? Jusqu’à sa majorité, ce sont les représentants légaux qui gèrent le contrat. À partir de 18 ans, l’enfant devient pleinement titulaire du contrat et peut en disposer librement, sauf si un pacte adjoint ou une clause particulière limite cette autonomie. Quelles garanties ou protections sont prévues ? Le contrat d’assurance vie peut intégrer des garanties de prévoyance facultatives, comme la garantie plancher (maintien du capital investi en cas de décès), ou un cadre juridique renforcé via le pacte adjoint pour sécuriser les sommes versées. Peut-on faire des retraits avant la majorité de l’enfant ? Oui, mais uniquement dans l’intérêt de l’enfant, avec l’accord des deux parents. Une autorisation du juge des tutelles peut être requise pour certains montants ou cas particuliers. Le retrait ne peut pas être destiné aux besoins des parents ou des tiers. Est-ce qu'on peut déshériter un enfant sur une assurance vie ? Non. L’assurance vie permet une certaine liberté dans la désignation des bénéficiaires, mais elle ne peut pas priver un enfant de sa réserve héréditaire. En cas d’abus, les héritiers réservataires peuvent faire requalifier le contrat dans la succession. (1) Taux de rendement 2024 du fonds en euros du contrat d’assurance vie multisupport Actépargne2, net de frais de gestion du contrat, brut de contributions sociales et fiscales. Les rendements passés ne préjugent pas des rendements futurs. (2)L’investissement en unités de compte comporte un risque de perte en capital. La valeur des unités de compte n’est pas garantie mais est sujette aux fluctuations des marchés financiers à la hausse comme à la baisse. (3)Taux net de frais de gestion et brut de prélèvements sociaux et fiscaux, du fonds en euros du contrat. Les rendements passés ne préjugent pas des rendements à venir. Succession assurance vie Bénéficiaire assurance vie Assurance vie héritage Assurance vie divorce